Lorsque sa mère meurt, l’auteur perd la dernière attache à son milieu social d’origine, lui le transfuge de classe. Alors, pour rendre hommage et pour cheminer dans son deuil, il analyse en tant que fils et que sociologue.
Les féminicides conjugaux sont bien plus que ce que les titres des faits divers voudraient nous faire croire … la manifestation d’une culture patriarcale et sexiste à laquelle nous sommes tellement accoutumé.es que nous ne savons parfois même plus percevoir les signes avant-coureurs des drames.
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Traduit de l’anglais par Renée Monjardet.Le livre de poche « Si vous voulez vraiment aider les patients, vous ne devez pas exclure la famille. Nous essayons toujours de suivre cette règle d’or : alors que le malade passe d’un stade à l’autre, aider ceux des siens qui restent à la traîne. Si la famille peut régler […]
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Respire, Maud Ankaoua. Editions J’ai LuRespire, Marielle Macé. Editions Verdier « Il est des vies qui inspirent celles des autres pour toujours. » Respire, Maud Ankaoua.« On en rêve plus que jamais, on s’en parle, parce qu’une atmosphère assez irrespirable est en train de devenir notre milieu ordinaire. » Respire, Marielle Macé. En septembre dernier, durant la même semaine, une alternante […]
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Tracts Gallimard Alors que tout le monde a le mot de « performance » à la bouche – qu’elle soit sportive, économique, financière, énergétique – Olivier Hamant, chercheur en biologie vient souligner ce que cette notion a de mortifère pour le vivant. La performance c’est soit le résultat obtenu dans une compétition – et le vivant n’étant […]
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Il aura joué pour moi un rôle de révélateur et de refuge.
Il m’aura permis de comprendre certaines des émotions qui me traversaient, de mettre des mots sur ma peine et mes espoirs
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Dans cet essai paru en 2000, l’auteure – intellectuelle et militante afro-américaine – s’attache à décortiquer ce qu’est l’amour lorsqu’on l’observe de près en essayant de le débarrasser de ses oripeaux sexistes et souvent bien utiles au maintien du patriarcat.
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Si les liens entre pensée, créativité et marche ont été encensés depuis plusieurs centaines d’années par les hommes, l’auteure – immobilisée après un grave accident – se met en quête de femmes ayant pratiqué la marche pour s’émanciper, se retrouver et créer.
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Qu’est-ce qui définit un(e) étranger(e)? Pourquoi choisit-on de l’accueillir, de faire preuve d’hospitalité plutôt que d’hostilité ? Sur quoi reposent les liens transitoires de l’hospitalité, quelles peuvent en être les mécaniques ?
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Le mou, c’est pas chic. Ça se tient pas, ça ne cause pas, ça construit rien et pourtant … le mou, c’est le doux, l’enfance, le refuge, la latence. L’auteure tente, en arpentant les différents types de mous, de mesurer ce qu’il fait qu’il est autant décrié.
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