Atteindre l’aube, Diglee.
La ville brule
« Nous avons agi en pilleuses, maman et moi. Deux téméraires folles d’amour, cherchant à te garder encore un peu.«
A la mort de sa grand-tante bien-aimée, une femme forte, belle, fantasque et presque magicienne, Diglee choisit de parcourir son appartement, ses objets et son courrier pour lui offrir le tombeau poétique qu’elle mérite. Ce sera l’occasion de découvrir et d’arpenter délicatement les liens tissés en les différentes générations de femmes de sa famille, leurs rapports à l’indépendance, leurs relations aux hommes, ce qui est tu, ce qui est raconté.
Encore une fois, c’est un rendez-vous raté ! J’ai tellement envie d’aimer ce qu’écrit Diglee – ce sont des sujets qui comptent pour moi et une approche dont j’apprécie l’évidente sincérité – et puis, beaucoup de personnes que j’apprécie aiment ses textes. Mais, comme avec Ressac, je n’ai pas accroché, comme s’il manquait quelque chose pour que le texte me marque vraiment … 🙁