L’arbre aux haricots, Barbara Kingsolver.
Traduit de l’anglais par Martine Aubert.
Editions Rivages
« Il y avait deux choses chez maman. La première c’est qu’elle attendait toujours de moi le meilleur. Et la deuxième c’est que quoi que je fasse, quoi que je ramène à la maison, c’était comme si j’avais accroché la lune dans le ciel et éclairé toutes les étoiles. A ce point.«
Taylor Greer est jeune. Elle veut partir de chez elle, vivre des aventures, grandir, être surprise et se construire une vie différente. A peine a-t-elle quitté son Kentucky natal dans sa vieille voiture qu’elle se voit confier, sur le parking d’un bar quelconque, un tout jeune bébé indien. Prise au dépourvu, elle continue sa route avec l’enfant jusqu’à tomber en rade devant un garage de Tucson où elle rencontre Mattie, une bonne fée militante…
Bon. Je ne comprends pas pourquoi je n’ai pas lu ce livre plus tôt. Je l’ai dévoré, il m’a fait rire, m’a émue, m’a fait réfléchir. C’est un roman d’apprentissage sympathique et non moralisateur. Il en émane une grande liberté et une grande joie qui m’ont portée.
Je vais donc continuer ma découverte de cette auteure.