Traduit de l’anglais par Jean Rosenthal.@robert_laffont « Elle était là pour faire quelque chose mais quoi, elle n’arrivait pas à le savoir. Toute la journée, presque toute la nuit, elle marchait et elle roulait en voiture. Deux ou trois fois par jour elle entrait dans tous les hôtels du Strip et dans quelques autres dans le […]
@edition_gallimard « Aulus s’appréhende comme la montagne, comme un ensemble d’accidents, de pins qui se succèdent et se cachent les uns des autres. On ne peut pas saisir Aulus d’un seul regard, on le découvre dans l’effort de la marche, à l’échelle du corps, par bribes, et il faut ensuite recoller mentalement ces morceaux pour s’en […]
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Fascinée par l’œuvre d’Agatha Christie et la constance de son attractivité pour un lectorat varié, l’auteure se plonge dans une analyse de ce qui rend ces enquêtes criminelles addictives. Très vite, elle isole un point commun : la grande majorité des meurtres a lieu dans le cadre familial.
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Dans cet essai en deux temps, l’autrice analyse et décortique les idées à l’œuvre derrière la culture du « bien-être » (une sorte de fuite en avant pour s’améliorer perpétuellement, exiger plus de soi-même et laisser toujours moins de place aux fragilités des personnes) puis propose diverses pistes
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Traduit de l’anglais par Sarah Gurcel.Editions Albin Michel « Restée seule, il me fallait échapper à mon environnement, comme en prison. Là-bas, j’avais appris à lire avec une force proche de la folie. Une fois dehors, je m’étais aperçue que je ne pouvais plus lire n’importe quels livres, car je voyais clair en eux : les […]
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Traduit de l’anglais par Benjamin Kuntzer.J’ai lu Editions « Je courais comme une folle dans la forêt de la magie, repoussant les ronces sans me soucier des griffures ou de la terre, sans même regarder où j’allais.« Pour survivre aux maléfices mortifères du Bois, la population locale se place sous la protection du Dragon, un puissant […]
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Moi qui n’ai pas connu les hommes, Jacqueline Harpman.Le livre de poche « Y a-t-il dans le travail de la mémoire une satisfaction qui se nourrit d’elle-même et ce dont on se souvient compte-t-il moins que l’activité de se souvenir ?« Quarante femmes sont enfermées dans une cave coupée du monde, elles sont surveillées à distance […]
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Au gré des références littéraires et philosophiques, elle chemine autour de ces premières fois, les enthousiasmantes comme les pétrifiantes pour nous permettre de nous les approprier à nouveau.
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Le livre de poche « Nous étions entrées, sans le voir, dans le domaine de l’implicite, des règles non dites et des silences obligatoires.« La Diguière, superbe maison de maître du XVIIIèe siècle. Ou plutôt maison de maîtresse car ce domaine abrite une famille de femmes, toutes viscéralement attachées à ce foyer qu’elles maintiennent tant bien […]
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Traduit de l’anglais par Anne Rabinovitch.Le livre de poche « Cependant, les gens extérieurs à la famille, même ceux qui vivaient à des centaines de kilomètres de là, dans la plaine, et n’entendaient que les rumeurs les plus indirectes, les plus exagérées sur le clan des Bellefleur, n’hésitaient jamais à parler de la malédiction des Bellefleur, […]
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