Ilos, Tome 1, Marion Brunet.

Editions Pocket Jeunesse. « On dit que les grands moments passent parfois inaperçus, qu’ils ne sont vus comme tels que bien plus tard. Un groupe se forme, une entité, un clan qui changera peut-être le cours des choses. Même s’ils l’ignorent encore.« 

Trilogie d’une nuit d’hiver, Katherine Arden.

Traduit de l’anglais par Jacques Collin.Editions Folio. « Les tchiorti sont, tout comme les hommes, exactement comme est la terre. Les tchiorti sont parfois sages et parfois irrationnels, parfois bons et parfois cruels. Dieu règne sur l’autre monde, mais qu’en est-il de celui-ci ? Les hommes peuvent bien rechercher le salut au paradis tout en faisant […]

Nord, Merethe Lindstrøm.

Traduit du norvégien par Marina Heide.Editions Cambourakis. « Le garçon était perché dans un arbre. Si je l’ai remarqué, c’est parce que je regardais en l’air et non par terre, il m’arrive de trébucher quand je marche, les arbres murmurent ou s’agitent là-haut, vers la lumière, et j’oublie de voir où je mets les pieds.«  Après […]

Du thé pour les fantômes, Chris Vuklisevic

Editions Folio. « J’aurais dû me méfier. Tu n’es plus une clé, depuis que ta mère est morte, tu es un pied-de-biche. La porte entre les mondes des morts et des vivants, pour une fois qu’elle te résiste un peu, tu ne le supportes pas, alors tu cherches à la rompre. Pas besoin de talons en […]

Conte d’automne, Julia Glass.

Traduit de l’anglais par Sabine Porte.Editions Gallmeister.  « – Pourquoi faut-il toujours que tu sois ironique quand la situation est grave ?Parce que l’ironie, ai-je dit, c’est comme les chaises droites. C’est fiable. Ça ne s’affaisse pas. C’est le siège dont on se relève le plus facilement. »  Percy a 70 ans, il est veuf depuis 30 ans […]

Tempête sur Kinlochleven, Peter May.

Traduit de l’anglais par Ariane Bataille.Editions du Rouergue. « La boisson ne procurait pas réellement d’évasion, il le savait. Il avait appris depuis longtemps que quelle que soit la quantité d’alcool absorbée, ce qui poussait à se réfugier dans la boisson était toujours là le lendemain matin quand on se réveillait avec une migraine atroce et […]

La ferme des animaux, Georges Orwell.

Traduit de l’anglais par Jean Quéval.Editions Folio. « Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l’homme et de l’homme au cochon, et de nouveau du cochon à l’homme ; mais déjà il était impossible de distinguer l’un de l’autre.« 

Le dernier jour de la vie antérieure, Andrès Barba.

Traduit de l’espagnol par François Gaudry.Editions Bourgois. « Elle sort de la maison en tremblant. Comme tout est étrange. Les rues. Les personnes. Elle a l’impression de flotter dans quelque chose de dense et de très doux, quand elle ouvre les yeux elle ne voit plus le monde, mais une sorte d’écran distant de quelques centimètres, […]